Nouvelle nationalité BRESIL

 merci à mon visiteur qui valide la 60ème nationalité

TOUR DU MONDE DES AUTEURS

Je poursuis le challenge qui consiste à lire le maximum d'auteurs d'une nouvelle nationalité.

Parmi les possibilités de ma PàL : ANGOLA  BULGARIE  BOLIVIE  CISJORDANIE  ETHIOPIE  GRECE  LETTONIE  MARTINIQUE  MONGOLIE  NEPAL  PAKISTAN   ROUMANIE  SAMOA  TUNISIE  ZIMBABWE 

Situation en 2022 :

                                                                        

77  COLOMBIE (2016) Des yeux de chien bleu de Gabriel Garcia Marquez 

78  BRESIL (2017) L'espionne de Paulo Coehlo

79  PEROU (2017) Qui a tué Palomino Molero ? de Mario Vargas Llosa

80   MALI (2019) La malédiction du lamantin de Moussa Konaté

81   EGYPTE (2021) L'immeuble Yacoubian de Alaa El Aswany

82   GROENLAND (2025) Juste avant l'arrivée du bateau de Hans Anthon Lynge

Andrea Camilleri [6]

La piste de sable

Sixième lecture de l'auteur sicilien et première rencontre avec le commissaire Montalbano, je ne retire rien de ce que j'ai critiqué précédemment du parti pris de traduction, justifié en préface.

Le roman se situe dans le monde des courses hippiques, l'intrigue est un peu tordue, ce qui a retenu mon attention, plus qu'aucun des protagonistes lesquels ne sont pas particulièrement sympathiques. 

à venir :
Un été ardent / La patience de l'araignée

 

La pension Eva
Je souligne un choix de couverture très réussi des éditions POINTS, sur une base en noir et blanc avec seuls la bouche et l'iris colorisés. Je suis plus réservée sur le choix de traduction, pour rendre le mélange d'interlangue entre dialecte, accent sicilien et italien plus formel : plus que caractéristique de la langue d'Andrea Camilleri, je trouve que l'effet est caricatural, encore accentué par la redondance et qu'au final, si ce n'est pas toujours dérangeant, ce n'est pas très agréable à lire. Je devrai essayer enfin un Montalbano en VO pour être fixée ! Car encore une fois, je suis tombée sur un roman atypique dont l'auteur situe l'action dans les années 40, en partie autour de la guerre des puissances de l'Axe contre les Alliés. Il explique en postface que ce n'est pas autobiographique, mais reste documenté de manière réaliste et que la Pension Eva, aujourd'hui disparue, a bien et bien existé. La mixité des publics et les rotations des pensionnaires de la Signura chaque quinzaine sont le prétexte à de nombreuses anecdotes personnelles, truculentes, charmantes ou tristes, parfois morales, toujours humaines. Les personnages fixes sont trois adolescents, amis de collègue puis de lycée : Nenè, Jacolino et Ciccio (littéralement petit gros) dont l'autre sexe est la grande préoccupation. Nenè est suivi de 12 à 18 ans, de l'éveil à la sexualité, avec un petit flashback sur ses 8 ans, à son déniaisement.

Lu le 30 avril 2020

Le toutamoi, roman érotique sulfureux

La concession du téléphone
Troisième lecture d'Andrea Camilleri et je n'ai toujours pas fait connaissance avec Montalbano, puisque cette fois l'histoire se situe à la fin du XIXème siècle, toujours dans un village du Sud sicilien. Filippo Genuardi sollicite l'installation d'une ligne téléphonique entre le siège de son entreprise et le domicile de son beau-père, un notable local qui est aussi son investisseur. Quelques bévues de sa part l'entraînent de Charybde en Scylla, dans une affaire où vont s'affirmer autour de sa personne les enjeux de pouvoir entre l'Etat, la Mafia et l'Eglise. L'affaire sera conclue à la sicilienne, chacun tentant de tirer son épingle du jeu et il apparaît finalement que  n'est ni le dangereux agitateur des uns, ni le bon gendre et mari ingénu des autres ! Prenant l'inspiration d'un banal fait divers retracé à travers une succession de courriers administratifs, de rapports et d'extraits de presse, le roman parodie sans concession les dysfonctionnements et travers des instances officielles et officieuses. Le ressort humoristique repose sur l'alternance entre deux corpus diamétralement opposés : " choses écrites " au style ampoulé et " choses dites " où la parole est plus libre et les (mauvaises) intentions plus évidentes.
Lu le 8 novembre 2014

Les enquêtes du commissaire Collura
Le temps de quelques publications pour La Stampa, Andrea Camilleri s'est pris au jeu d'inventer des énigmettes dans le style d'Agatha Christie qu'il soumet à la sagacité du commissaire de bord Collura, un ami du célèbre Montalbano, embarqué pour une " croisière s'amuse " pleine de faux semblants.
Dans un format forcément contraint, elles ne permettent pas de développer énormément la psychologie des personnages, mais au niveau du style, j'ai aimé les mots originaux et expressions inconnues : le résultat d'une riche langue sicilienne associée un traducteur fécond ? (ex : ni à bock, ni à tabac, je dois vérifier car je ne l'ai trouvée nulle part sur internet)

Le tailleur gris
Plus connu pour les aventures de son commissaire Montalbano, l'auteur fait une digression du côté d'un personnage de jeune femme peu commun, mariée en secondes noces à un vieux banquier à la retraite. On se met à attendre avec impatience les sorties de ce petit tailleur gris pour apprendre ce qu'il révèle des intentions, coupables ou non, de celle qui le porte.

Je ne lis plus ou presque... ce n'est pas un poisson

Pour beaucoup de blogues que je suivais, les dernières années ont été fatales : ralentissement, disparition... Seuls les plus assidus publient encore, avec toujours autant d'acuité et d'intérêt intrinsèque ! 

Ce qui a changé ?

Je dois reconnaître que l'effet COVID m'a éloignée de la lecture et de la blogosphère, au point que je ne visitais plus les sites préférés de ma blogroll.

Je reprends lentement le rythme des lectures mais l'envie de tenir à jour mes comptes-rendus, sans avoir jamais prétendu aux chroniques élaborées de certain.e.s, n'est plus là.

Pause ou arrêt définitif ???

Je me promets de faire un retour sur les commentateurs chers à mon coeur, mais je remercie d'ores et déjà ceux qui se reconnaîtront pour leur fidélité.

J'ai lu

Blood type T3 (un an après les deux autres)
Des extraterrestres
La ballade de Lila K ++
Surface

Dark moon ++

Les victorieuses ++

Aux anges ++

Vieux, râleur et suicidaire, la vie selon Ove +

Lumière noire

A même la peau

Amour de François Bégaudeau

Hier d'Agota Kristof

Psychopompe d'Amélie Nothomb

Passagère du silence

Agatha Christie, le chapitre disparu

La chute de la maison aux flèches d'argent

Disparition inquiétante

La succession de Jean Paul Dubois

La griffe du chien de Don Winslow

Nightfall

Les loups de Mercy : 2. Fièvre

Scarface

Tokyo express

La bête dans les murs

Je lis

Mélanges de sangs

Je lirai 

L'agence secrète

Terre des oublis

à finir : !!

Le centième singe

L'enfant de sable

58ème drapeau validé !

 Merci à mon/ma visiteur/se de Roumanie, j'aurais dit que ce pays était validé depuis longtemps et je me serais trompée... il reste encore des absents en Europe !!!

La chute de la maison aux flèches d'argent

 

Encore un titre trop bavard... je viens de m'en apercevoir alors que je n'ai parcouru qu'une cinquantaine de pages et donc je me fais une idée de qui va provoquer cette chute, dommage d'être ainsi prédisposée d'emblée à interpréter ma future lecture. 

Finalement c'est un mal pour un bien : reprise de lecture poussive le lendemain, je ne réussis pas à m'intéresser aux personnages, à l'énigme qu'ils représentent. 

Comme j'ai anticipé que le duo Philippe-Isabelle a un rôle clef à jouer (je ne spoile rien cf. paragraphe précédent) dans la chute annoncée de la Maison aux Flèches d'argent, dès que l'indice préfigurateur apparaît, je saute aux dernières pages, histoire de vérifier qu'elles ne me donnent pas envie de lire les péripéties intermédiaires : mon pronostic est quelque peu erroné mais ça ne change pas grand chose.

Tant mieux, je referme le roman, il va rejoindre sa boîte à livres, j'ai tellement de lectures motivantes qui m'attendent !

BABY CHALLENGE 2024 - CONTEMPORAIN

Objectif : je vise une dizaine de titres sur l'année

Facteurs favorables : j'ai un CDI sur mon lieu de travail et la bibliothèque municipale applique la gratuité pour tous depuis cet automne

Point négatif : ma gigantesque Pàl... ne va pas beaucoup baisser : seul le numéro 6 en fait partie

Bonus : je ferai peut être une incursion à l'occasion sur le Baby Polars

1.    [Saga] Les sept sœurs, de Lucinda Riley et Harry Whittaker
2.    Fleurs sauvages, de Kimberley Freeman
3.    Nous rêvions juste de liberté, d'Henri Loevenbruck
4.    Celle que je suis, de Claire Norton
5.    Et que ne durent que les moments doux, de Virginie Grimaldi
6.    Tout le bleu du ciel, de Mélissa Da Costa
7.    La Perle et la Coquille, de Nadia Hashimi
8.    Mille petits riens, de Jodi Picoult
9.    Il nous restera ça, de Virginie Grimaldi
10.    Les mémoires d'un chat, d'Hiro Arikawa
11.    Le Choeur des femmes, de Martin Winckler
12.    Désenchantées, de Marie Vareille
13.    Les Sept Maris d'Evelyn Hugo, de Taylor Jenkins Reid
14.    La passeuse d'histoires, de Sejal Badani
15.    [Saga] Il est juste que les forts soient frappés, de Thibault Bérard
16.    Merci, Grazie, Thank you, de Julien Sandrel
17.    Daisy Jones & The Six, de Taylor Jenkins Reid
18.    Ainsi gèlent les bulles de savon, de Marie Vareille
19.    La faiseuse d'étoiles, de Mélissa Da Costa
20.    Sous un grand ciel bleu, d'Anna McPartlin

Jokers
1.    Leçons de chimie : La brillante destinée d'Elizabeth Zott, de Bonnie Garmus
2.    À la lumière de nos jours, de Clarisse Sabard
3.    Dites aux loups que je suis chez moi, de Carol Rifka Brunt
4.    Du côté du bonheur, d'Anna McPartlin
5.    Une vie comme les autres, d'Hanya Yanagihara

Joueuse

Parfois je me fais de bonnes surprises sans intention préalable et ce fut le cas hier soir : je cherchais dans mes bibliothèques un titre pour un challenge en cours et ne le trouvant pas, j'ai déplacé la première rangée de livres. J'ai redécouvert avec curiosité quelques paquets cadeaux simplement ouverts mais conservés dans leur emballage. Joueuse de Benoît Philippon ne m'évoque pas de quel swap elle est issue, mais la lecture de la quatrième de couverture me rappelle ce qui a pu m'attirer vers l'aventure de Maxine et Zack, deux virtuoses au poker. Ces deux-là sont faits pour se rencontrer... et Maxine, une fonceuse qui n'a pas froid aux yeux, force un peu le destin : elle a un projet pour eux.

Les très méchants, misogynes entre autres défauts, ne manquent pas. Par contraste, les gentils de l'histoire, même s'ils traînent chacun un lourd passé, amènent des sourires d'attendrissement : compagnons inséparables des deux premiers, il y a Basile-Baloo qui défend Zack depuis la cour d'école et Jean, un enfant de 7 ans au QI de 195 qui s'est choisi sa voisine Maxine comme mère de substitution.

Terminus Belz

Terminus Belz est le premier roman d'Emmanuel Grand : un policier pas vraiment noir, bien que certaines scènes puissent choquer l'imagination. Les frissons d'angoisse sont très présents, à la fois par l'intrigue qui repose sur des légendes païennes bien ancrées dans la mythologie bretonne et par le sort peu enviable des protagonistes que l'auteur n'épargne guère. Les failles des personnages, leurs faiblesses humaines, les rendent attachants. Mais oserais-je dire sans spoiler que tout est bien qui finit bien ? Lisez le roman qui a reçu le prix SNCF du polar 2016 et le mérite. On pardonnera la licence littéraire qui, pour les besoins du huis clos, situe l'action sur l'île de Belz au large de Lorient, alors que la commune existe dans le Morbihan, mais sur le continent.

Marko Voronine fait d'un groupe de quatre réfugiés ukrainiens pris en charge par la mafia roumaine pour passer en Europe. Un incident majeur au cours du trajet change son destin : il doit se séparer de ses compagnons de voyage et disparaître de la circulation. Il accepte une place de marin-pêcheur, mais se heurte à l'hostilité de la communauté îlienne. L'endroit devient une nasse dont il voit trop tard le piège se refermer sur lui.

Noëls d'hier et de demain

Une anthologie réunie par Pierre Alexandre Sicart

- Quand Jésus descend par la cheminée, Ian Watson : un Robin des bois de Noël

- La méthode Noël, Nicolas Saintier : chantage, manipulation et exploitation orpheline

- Noël en solitaire, Léa Silva : un cadeau pour la fille du Père Noël

- Du sang sur des mains de givre, Olivier Boile : grand-parricide et châtiment

- Befana, Anne Rossi : ghetto hors les murs, une atmosphère d'enfants perdus +

- Le Sauveur, Alain Rozenbaum : sénescence, abominable, j'adore +++

- Miriam, Messie, Dean Whitlock : une longue nouvelle, joliment tournée, sur la Nativité ++

- Gloire éternelle, Meddy Ligner : gloire anonyme +

- Poupée et vieux journaux, David Baquaise : sortilège

- Nuit de Noël à l'Octogone, Jean Marc Ligny : le dernier refuge d'un sans abri

- Le don, Damien X. Nortier : le quatrième mage ++

- A nos espoirs, Ophélie Bruneau : un étrange visiteur de Noël

- Un jour par an, Claude Mamier : le festin des horribles lutins du Père Noël

Orson Scott Card

Muriel Essling

Pierre Gévart

Léo Lamarche

Elodie Meste

 

Hier

Dans le cadre du LPDA en binôme avec Terrystad, je viens de terminer ce très court roman d'Agota Kristof, je m'y suis reprise à plusieurs fois, car je n'accrochais pas forcément au moment où j'ai commencé ma lecture, pourtant j'adore l'écriture de cette autrice, pourtant comme d'habitude j'ai pris une claque : derrière la fausse simplicité, il y a une pensée dénuée de fioritures à l'extrême.
Dernièrement j'ai lu Amour de François Bégaudeau, donné par une amie, dans un style radicalement différent, le message se rapproche, je ne sais pas aller au delà de cette première réaction à chaud, j'ai encore besoin de digérer ces lectures.

De silence et de loup

Je n'avais pas eu l'occasion depuis l'université de participer à un colis de lecture-surprise !

J'ai donc été très curieuse et intéressée quand j'ai vu l'initiative du CDI... et ravie de la découverte le 24 au soir : malgré mon impatience, j'ai respecté la consigne de ne pas ouvrir avant la veillée de Noël.

Anna, journaliste russophone, décide de candidater à une expédition polaire à la suite du décès accidentel de sa fille Zora et du suicide de sa compagne Romane.

La première partie du roman montre les déboires et avaries multiples subis par l'équipage du Yupik, avant même le début de leur campagne de relevés climatologiques.

Dans la seconde partie, Anna, retenue seule en Sibérie par des autorités pointilleuses et omnipotentes, enchaîne les coups désastreux - autodestructeurs - avant de tenter de rejoindre la Léna à pied.

L'ensemble est constitué par un journal de bord qu'Anna adresse à son frère Sasha (frère Dom Joseph pour l'ordre des Chartreux).

Une connaissance fine des interactions humaines fait battre le coeur du roman. Les deux fils narratifs de la vie d'Anna sont menés avec suspense. Je n'ai pas entrevu immédiatement les deux dénouements qui se profilaient - ma nature optimiste et mon espoir en la rédemption - puis j'ai espéré que l'un, passé donc inexorable, ne serait pas doublé de l'autre... Je ne spoile pas le ressort psychologique ultime mais vous invite fortement à découvrir l'écriture incisive, sans surcharge, de Patrice Gain à travers ce titre. On se plaît à apprécier l'environnement pourtant très inhospitalier dans lequel il plonge ses personnages.

57ème nationalité de passage sur le blogue

 Bienvenue à mon visiteur du Kazakhstan

J'ai vu

Classement chronologique provisoire : je ferai un retour de mon top en fin de mois

La Vénus d'argent

How to make sex

Mars express

La tresse de Laetitia Colombani

La tournée de Mathieu Amalric

Le stade de Wimbledon de Mathieu Amalric

Je ne suis pas un héros

Ty catch impro

J'ai vu

Ben en fait non, rien de transcendant ! J'espère mieux le mois prochain...

Ordre chronologique provisoire, je ferai un classement en fin de mois

Cinéma :

The Pod generation

Hunger games : La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur

La passion de Dodin Bouffant

Scène :

Exquis (théâtre d'improvisation) un numéro de duettiste animé par Marlène de Ty catch Impro à La baleine déshydratée le 16 novembre

Festival Improvizta (cabaret d'improvisation et streaming : fomat long improvisé) et les QI (Quimper impro) au centre cuturel Arthémuse de Briec le 18 novembre

Trois enquêtes de l'inspectrice D.D. Waren (8 - 9 et 10/11)

Retrouve-moi

Roxanna promène ses deux chiens aveugles dans le quartier quand les quatre membres de sa famille : mère, beau-père, demi-soeur et demi-frère, se font assassiner par balles à domicile. Coupable ou victime, elle disparaît de la circulation à une vitesse stupéfiante pour une adolescente normale et demeure introuvable malgré l'avis de recherche de la police. 

Flora, administratrice d'un forum d'aide aux victimes d'agression, avait reçu son appel à l'aide au travers de Sarah, une autre survivante. Bon gré mal gré, D.D. Waren doit accepter leur collaboration et recrute Flora comme indic.

J'ai trouvé ce roman dans une boîte à livres. Il croise abondamment les fils du précédent épisode de la saga, assez pour me donner envie de connaître le passé de Flora et je me suis aperçue avec plaisir que j'allais pouvoir le lire dans la foulée puisqu'il est déjà dans ma PàL.

Lumière noire

472 jours

A même la peau

Echappe-t-on à son destin quand on naît d'une famille marquée du sceau de la mort ?

Paillettes et gros dossiers

Un peu de chick litt qui ne casse pas trois pattes à un canard pour revenir à la lecture ce week end : Cléo Buchheim applique une recette qui a fait ses preuve dans Le diable s'habille en Prada. 

Les tribulations de Jacqueline Meridier présentent toutefois une originalité puisque  l'histoire se passe en Suisse et même si c'est relativement peu présent dans le roman, les particularités helvétiques m'ont fait sourire.

J'ai vu

 Fabuleusement déjanté le spectacle Pyrophonie des Fuegoloko qui assument leur nom !

https://www.facebook.com/mptpenhars/videos/972407107126743/

Ru [bercer, berceuse en vietnamien]

 VIET-NAM

Dans un désordre apparent de souvenirs, Kim Thuy évoque les purges communistes dans le Sud-Vietnam et la fuite par milliers des " boat people " dont bien peu parviendra à une terre d'asile. 

Originaire de Saïgon et issue d'un milieu très favorisé, elle raconte l'enfance dorée, puis la descente aux enfers, dans un bateau au large du golfe de Siam, qui a d'abord mené sa famille jusqu'à un camp de réfugiés en Malaisie, avant l'exil au Québec.

Ses courts chapitres alternent la beauté préservée de moments suspendus et la narration de ce qui ne sera une capitulation : la reprise en main d'un destin, à travers les caractères de ses père, mère, oncles et tantes.